- EAN13
- 9791030417418
- Éditeur
- Éditions Allia
- Date de publication
- 22/08/2023
- Collection
- Moyenne collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Éditions Allia 12,00
Avec La Version, Debora Levyh nous entraîne à la rencontre d’un peuple
imaginaire et merveilleusement insaisissable. Observation poétique de leur
artisanat, leur nourriture, leurs habitudes vestimentaires, leur rapport au
temps et à l’écriture, ce récit aux accents anthropologiques nous plonge avec
inventivité au cœur d’un groupe d’individus en mue perpétuelle, chez qui la
notion d’identité n’a pas de valeur. La description de cette mystérieuse
communauté est aussi l’occasion pour Debora Levyh de proposer une fine analyse
sur la question de la traduction, et plus particulièrement sur la difficulté à
parler d’une culture dans une langue qui n’est pas la sienne. Au-delà de sa
force descriptive, ce premier roman brille par l’étrangeté de sa poésie, où
l’onirisme côtoie des visions surréalistes aussi déroutantes que fascinantes.
Debora Levyh est née en 1988. Bien plus tard, elle a construit et enseigné de
l’architecture sous différentes formes. Maintenant, elle met au point des
installations documentales et fabrique des fictions non-narratives. Elle
s’intéresse à des pratiques qui font communauté, aux formes possibles du
vivant, aux sensorialités non-normatives, aux indicibles et aux non-dits, aux
effets psychotropes de la parole, à la matérialité concrète du langage. Elle
travaille seule chez elle, en duo avec Les Aethers et en collectif dans
Prairie permanente. Elle vit à Bruxelles, et voyage le plus souvent sans se
déplacer.
imaginaire et merveilleusement insaisissable. Observation poétique de leur
artisanat, leur nourriture, leurs habitudes vestimentaires, leur rapport au
temps et à l’écriture, ce récit aux accents anthropologiques nous plonge avec
inventivité au cœur d’un groupe d’individus en mue perpétuelle, chez qui la
notion d’identité n’a pas de valeur. La description de cette mystérieuse
communauté est aussi l’occasion pour Debora Levyh de proposer une fine analyse
sur la question de la traduction, et plus particulièrement sur la difficulté à
parler d’une culture dans une langue qui n’est pas la sienne. Au-delà de sa
force descriptive, ce premier roman brille par l’étrangeté de sa poésie, où
l’onirisme côtoie des visions surréalistes aussi déroutantes que fascinantes.
Debora Levyh est née en 1988. Bien plus tard, elle a construit et enseigné de
l’architecture sous différentes formes. Maintenant, elle met au point des
installations documentales et fabrique des fictions non-narratives. Elle
s’intéresse à des pratiques qui font communauté, aux formes possibles du
vivant, aux sensorialités non-normatives, aux indicibles et aux non-dits, aux
effets psychotropes de la parole, à la matérialité concrète du langage. Elle
travaille seule chez elle, en duo avec Les Aethers et en collectif dans
Prairie permanente. Elle vit à Bruxelles, et voyage le plus souvent sans se
déplacer.
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