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California dollar
EAN13
9782402470575
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Éditions du Dollar)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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California dollar

FeniXX réédition numérique (Éditions du Dollar)

Indisponible
L'histoire : Ettore Spandolini, Tom Corson, Stéphanie, Nathalie, le Crabe, le
Serpent, et une foule d'autres personnages. Pour eux, tous les moyens sont
bons. Et tous les coups aussi. Pour faire des affaires. Pour gagner de
l'argent. Mais, surtout, pour empêcher les autres d'y arriver. Plus qu'un
thriller. Plus qu'un roman financier, policier ou d'espionnage, « California
Dollar » est une critique haletante et sans appel d'un monde féroce, dans
lequel on s'impose en multipliant les coups bas et les manœuvres tordues.
Personne n'est épargné, ni les honorables banquiers, ni les intermédiaires
douteux, et pas plus les gens faussement respectables que les franches
crapules… Dans une Silicon Valley en profonde crise, quelques-uns se régalent
de l'agonie de tous ceux qui ont cru - trop vite et trop fort - à une nouvelle
ruée vers l'or électronique. La Californie est vaste, et elle a de beaux jours
devant elle pour qui n'a pas de scrupules. Et pourtant, c'est aussi là que se
nouent de très profondes amitiés, et des histoires d'amour à rebondissements.
C'est ce que raconte « California Dollar ». Le style : À première vue, il a de
quoi surprendre. Et il surprend. Des phrases très courtes. Disposées en
colonnes. Des séquences à la place des chapitres. Un récit qui rebondit sans
cesse. Ça surprend beaucoup, parce que c'est totalement nouveau. Chazoule
définit très bien lui-même ce qu'il écrit, quand il dit : « C'est de l'anti-
littérature. Je n'écris pas pour être jugé par des professionnels du jugement.
Pas pour être comparé à une norme. Pas pour m'inscrire dans un courant. La
littérature, c'est l'adoration de ce qui est reconnu par les bigots de l'art.
On peut aimer Shakespeare ou non. Flaubert ou non. Victor Hugo ou non. Mais
dire qu'on aime la littérature en général, ne signifie rien. Ou plutôt, ça
signifie qu'on se fait un devoir d'aimer ce qu'on vous a ordonné d'aimer, et
ça, c'est très grave. J'écris comme j'ai envie de le faire, pour raconter des
histoires à un public, qui ne s'embarrasse pas d'un fatras de prétentions
pseudo-littéraires, mais qui a envie de se distraire, de s'amuser, et de
réfléchir sur des choses plus graves. Et pour cela, il n'y a qu'un seul vrai
moyen : La simplicité ». Ajoutons que les romans d'Olivier Chazoule sont
écrits au second degré, avec beaucoup d'humour et de poésie, et que les thèmes
abordés sont un prétexte pour décrire, avec un sens aigu du détail, la
psychologie de ses personnages.
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