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La disparition de Stephanie Mailer

Joël Dicker

Editions de Fallois

  • Conseillé par
    20 mars 2018

    Fiction-plaisir

    Roman gigogne sympathique qui fait passer d'agréables moments de lecture, à se perdre dans les méandres d'une enquête compliquée qui ressemble à un jeu de piste. Certains lecteurs sont déçus de ne pas y trouver davantage de force ou de rigueur, mais franchement, que demande-t-on à une fiction sinon de nous distraire ? Alors, ne boudez pas votre plaisir et même si vous avez, à certains passages, estimé que 633 pages, c'est trop, savourez le dernier Dicker ! Il est bon ...


  • Conseillé par
    4 mars 2018

    En moins de pages qu’il ne faut pour le dire Joël Dicker nous embarque dans une affaire de disparition et de crimes multiples aux portes de New-York! Et c’est parti pour 635 pages! Précisons que l’on ne retrouve pas les protagonistes des précédents livres.
    Chez Dicker on ne retient pas d’emblée le style, quoique...mais la construction et l’effet de surprise à chaque page. On ne s’ennuie pas. Quelle imagination !
    C’est un livre assez addictif, long , assez dense, où les tiroirs s’ouvrent et se referment jusqu’à la fin, où on se laisse balader de vraies pistes en fausses pistes jusqu’à ce que toutes se croisent.
    Je suis un peu dubitatif sur quelques passages et aussi parfois des éléments bien arrangeants qui viennent servir la narration, s’imposant comme des évidences. Allez, ça simplifie d’autant les choses dans cette construction quelque peu noueuse! Mais Dicker a, il faut l’avouer, l’art d’exposer clairement son propos ce qui rend particulièrement rythmée la lecture.
    Je n’ai pas retrouvé « la magie » et le suspense des précédents livres, peut être parceque l’on sait que les révélations vont arriver quand l’histoire s’essouffle: on connaît votre recette Monsieur Dicker!
    Alors après une telle attente sommes nous en présence d’un grand bon livre policier, un livre « de sous genre » comme il le dit lui même dans le roman ( pour mettre déjà à distance les grincheux ) ? On verra si la critique donnera raison à son affirmation de la page 633 ! Sourire .
    On est clairement en présence d’un bon page turner, intelligent et bien pensé, distrayant à souhait qui sans décevoir ne soulève pas non plus un enthousiasme délirant. Bref, c’est bien! On sait ce qu’on attend de Dicker et il nous le donne!
    Ceux qui disent de prévoir un week-end pour le lire vous mentent, il faut bien une semaine pour arriver au bout de ce puzzle et c’est tant mieux .