- EAN13
- 9782843045097
- ISBN
- 978-2-84304-509-7
- Éditeur
- Zulma
- Date de publication
- 14/05/2010
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 19 x 12,5 x 1,9 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
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Mes seuls dieux
Anjana Appachana
Nouvelles traduites de l'anglais (Inde) par Alain Porte
Pleines d’inventions narratives, les nouvelles d’Anjana Appachana entrelacent enchantement amoureux et cruauté inconsciente, songeries amères et tendres, conflits cocasses ou tragiques. Elles nous font découvrir l’Inde du point de vue de la femme, de l’enfance vulnérable aux déboires des épousailles ; de la fillette qui s’invente une vie sentimentale en lisant Jane Eyre au moment où sa sœur aînée se marie, à celle qui porte une dévotion folle à sa mère — au point de la croire en communication directe avec le panthéon des divinités hindoues !
« Ce fut ma vieille amie qui, en toute innocence, me posa la question : est-ce que la famille observait les coutumes habituelles au cas où le nouveau-né serait un garçon ? Quelles coutumes, ai-je demandé, déroutée. Elle gloussa. »
Née au sud de l’Inde, elle fait des études à Delhi et en Pennsylvanie. En 1992 elle publie en Angleterre Mes seuls dieux, puis est primée pour son premier roman. Elle poursuit une investigation quasi sociologique de l’imaginaire indien en y ajoutant cette ampleur intimiste, frémissante de nuances, qui nous rend si proches ses personnages. En rupture avec la respectabilité et les conventions, le système des castes et le poids de la bureaucratie provinciale, Anjana Appachana place le lecteur au cœur même de la sensibilité féminine indienne si proche de la nôtre dans ses aspirations..
Anjana Appachana
Nouvelles traduites de l'anglais (Inde) par Alain Porte
Pleines d’inventions narratives, les nouvelles d’Anjana Appachana entrelacent enchantement amoureux et cruauté inconsciente, songeries amères et tendres, conflits cocasses ou tragiques. Elles nous font découvrir l’Inde du point de vue de la femme, de l’enfance vulnérable aux déboires des épousailles ; de la fillette qui s’invente une vie sentimentale en lisant Jane Eyre au moment où sa sœur aînée se marie, à celle qui porte une dévotion folle à sa mère — au point de la croire en communication directe avec le panthéon des divinités hindoues !
« Ce fut ma vieille amie qui, en toute innocence, me posa la question : est-ce que la famille observait les coutumes habituelles au cas où le nouveau-né serait un garçon ? Quelles coutumes, ai-je demandé, déroutée. Elle gloussa. »
Née au sud de l’Inde, elle fait des études à Delhi et en Pennsylvanie. En 1992 elle publie en Angleterre Mes seuls dieux, puis est primée pour son premier roman. Elle poursuit une investigation quasi sociologique de l’imaginaire indien en y ajoutant cette ampleur intimiste, frémissante de nuances, qui nous rend si proches ses personnages. En rupture avec la respectabilité et les conventions, le système des castes et le poids de la bureaucratie provinciale, Anjana Appachana place le lecteur au cœur même de la sensibilité féminine indienne si proche de la nôtre dans ses aspirations..
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